Lastours
Lastours, ce village enchanteur niché dans la Montagne Noire, est imprégné d'une histoire profonde qui remonte à l'époque médiévale. Son paysage est dominé par les vestiges majestueux de ses quatre châteaux cathares : Cabaret, Surdespine, Quertinheux et Tour Régine. Ces forteresses, érigées sur des pitons rocheux escarpés, ont été le théâtre de batailles épiques pendant la Croisade des Albigeois au XIIIe siècle. Témoin de conflits séculaires et de luttes de pouvoir, Lastours demeure aujourd'hui un symbole de résilience et de patrimoine, attirant les visiteurs par sa beauté intemporelle et son héritage historique impressionnant.
Le village de Lastours
L'origine de la fondation du village demeure assez floue. Elle remonterait aux alentours de la deuxième moitié du 13ème siècle, date d'un déplacement de l'habitat médiéval suite à la destruction du village castral situé au Nord de l'éperon rocheux.
Dans un premier temps, l'installation de la population s'est faite autour de l'ancienne église (vielha gleisa) sur le versant sud, connu par les textes sous le nom de Ripparia Cabaretti (Rivière de Cabaret), pour ensuite glisser au fond de la vallée le long des méandres de la rivière Orbiel. Le village conservera jusqu'à la Révolution Française son nom de Rivière, pour ensuite prendre officiellement le nom de Lastours, contraction de l'occitan Las Tors, désignant les quatre forteresses le surplombant.
Activités Textile et Minières
Descendantes d'une tradition textile remontant au Moyen Age (de bonnes femmes cathares produisaient déjà au 13ème siècle du tissu de bonne qualité), les industries textiles fleurissent dans les communes de la Montagne Noire dès le 15ème siècle grâce aux lettres de patente de Colbert.
D'abord de petits ateliers ou moulins (à blé, à huile dans un premier temps, puis ensuite des moulins à foulon) s'installent le long de L'Orbiel ; au 19ème siècle cette activité devient industrielle, avec l'installation de plus grandes structures.
Profitant de l'eau légèrement acide se prêtant parfaitement à l'industrie textile (délainage, tannage), ces structures étaient alimentées par cette même eau par le biais de turbines et d'un béal (canal de dérivation de l'eau). Dans les années 1840, les frères Roger implantent leur usine qui employa jusqu'à 200 ouvriers, autant dire la quasi totalité des bras disponibles du village.
L'activité minière est connue depuis très longtemps. Les Romains connaissaient et exploitaient déjà un siècle avant J.-C. les mines de fer au sommet de la Montagne Noire ainsi que les Barrencs de Fournes. Plus tard les seigneurs de Cabaret tirèrent leur pouvoir et leur richesse des mines de fer de Carrus, à l'ouest des châteaux.
En 2009 des recherches archéologiques, toujours en cours, ont été entreprises avec le soutien de la DRAC dans la mine antique de cuivre des Barrencs, située sur les communes de Lastours et de Fournes, à l'est de la colline des châteaux. Elles confirment une exploitation du 4ème et 3ème siècle avant J.C. C'est l'une des plus exceptionnelles mines antiques du sud de la France, par l'excellent état de préservation des travaux anciens restés intacts depuis l'Antiquité, car vidée complètement à l'époque et par l'ampleur du réseau souterrain et les perspectives d'études archéologiques qu'elle offre.
Ce n'est qu'à l'aube du 20ème siècle que les mines d'or de Salsigne ont été exploitées, jusqu'à leur fermeture en 2004.
Les 4 Châteaux de Lastours
Les châteaux de Lastours (en occitan Las Tors, litt. 'Les tours') sont quatre châteaux dits cathares situés sur la commune de Lastours dans le département de l'Aude en région Languedoc-Roussillon.
Les quatre châteaux sont sur un éperon rocheux au-dessus du village de Lastours isolés par les profondes vallées de l'Orbiel et du Grésilhou. Ils étaient le verrou du Cabardès d'où le nom du château principal : Cabaret. Ils sont bâtis à 300 mètres d'altitude dans le même axe : Cabaret, la Tour Régine, Surdespine et Quertinheux légèrement en retrait. Le site est classé aux monuments historiques depuis 1905 et les fouilles archéologiques sont toujours actives.
Ils étaient le verrou du Cabardès d'où le nom du château principal : Cabaret.
Ces quatre châteaux font bien partie d'un seul ensemble même s'ils n'ont aucune structure en commun. Le contexte naturel du site a permis de faire l'économie d'une forteresse de grande taille. Les plans ont été adaptés aux rochers sur lesquels ils sont construits. La construction est parfois hétérogène du fait de l'étalement des remaniements effectués sur les châteaux.
Histoire
Occupé depuis l'âge de bronze, le site de Lastours n'en finit pas de
nous surprendre. Déjà connu en 585 sous le nom de Caput Arietis Castra
, c'est
en 1063 que le site s'affirme comme importante seigneurie minière, « La Seigneurie de Cabaret ».
Cette seigneurie est composée de trois châteaux primitifs déjà appellés Cabaret, Surdespine, Quertinheux ainsi que d'un village médiéval (le "Castrum de Cabaret"). Les seigneurs occupent ces châteaux et tirent notamment leur richesse de l'exploitation des mines de fer.
C'est l'époque du catharisme et les seigneurs de Cabaret apparaissent très proches des adeptes de cette nouvelle religion. Pierre-Roger sera le plus remarqué dans toute la région.
Des maisons de religieuses ainsi que la présence régulière de diacres et d'évêques cathares confirment que le castrum est un haut-lieu du catharisme. La seigneurie est assiégée une première fois en 1209 par Simon de Monfort sans succès puis en 1227 par Humbert de Beaujeu qui échoue également.
Suite aux évènements de la Croisade contre les Albigeois (1209-1229), les châteaux primitifs et le village médiéval sont détruits. "Les Cabaretois et Cabaretoises" sont chassés brutalement de leurs maisons figeant ainsi dans le temps "la seigneurie de Cabaret".
Saint-Louis affirme son autorité et sa puissance: La Chatellenie du Cabardès
voit le jour
et quatre nouvelles forteresses sont édifiés sur la crête rocheuse. Ces
châteaux royaux sont adaptés aux nouveaux moyens d’attaque et les noms des trois châteaux
primitifs sont conservés avec la Tour Régine qui complète l'ensemble.
Chaque tour est occupée par une petite garnison royale. Les châtelains y vivent avec leur famille et leur domesticité. De plus, en échange de corvées de garde et d’entretien, les gens de la châtellenie se voient accorder des privilèges, comme l’exemption de la taille, qui seront confirmés jusqu’à la Révolution.
Le nouveau village de Rivière, attesté à partir de 1269, se développe au sud des châteaux,
au bord de l'Orbiel. Le nom de « Lastours » apparaît après la Révolution.
Les châteaux seront quant à eux abandonnés. Le site de Lastours est un des premiers classés Monument
Historique
du département (1905). Par décret du 2 septembre 2010, les quatre châteaux
et leurs abords
sont classés parmi les Sites du département de l’Aude
.
Le château de Cabaret
Situé au nord de l'ensemble, Cabaret est le plus imposant. Le donjon auquel on accède par un étroit escalier à vis, présente une voûte d'ogives à cinq branches offrant une des plus belles vues sur les trois autres châteaux. Ce château possède également deux citernes.
Le monument comprend trois parties :
- un donjon polygonal à cinq pans,
- un corps de logis rectangulaire,
- une courtine polygonale enveloppant l'ensemble.
L'intérieur de la courtine délimite deux cours dans lesquelles ont été adossés des bâtiments. On distingue en outre une ancienne tour carrée partiellement confondue avec l'extrémité Nord de la courtine.
Le Donjon
Son angle Sud-Est éventré laisse apercevoir la voûte gothique de la salle-haute retombant sur de simples culots, tandis que la salle-basse est couverte en berceau brisé. Le donjon est percé de sept archères simples et d'une remarquable fenêtre en plein cintre à l'Ouest.
La Défense
Un dispositif de défense en arc de cercle protégeait l'entrée principale, à l'Ouest de l'enceinte.
Une Bretèche, dont restent deux consolent en quart-de-rond, défendait l'accès au logis. Une porte secondaire s'ouvrait à l'extrémité Sud-Est du château.
Le Chemin de Ronde
Le chemin de circulation au sommet des courtines repose sur des arcades aveugles en arcs brisés. Son crénelage actuel est dû à une restauration abusive.
Les Escaliers
Trois escaliers subsistent à Cabaret :
- un escalier à vis intérieur, restauré lors de la dernière campagne, desservant le donjon, est situé dans son angle Nord-Est.
- un escalier extérieur accolé au mur Nord du logis permettait d'accéder au chemin de ronde ; ce dernier escalier est postérieur à la construction du logis puisqu'il obture, face interne, trois archères de ce bâtiment.
- un troisième escalier est constitué par un emmarchement permettant de descendre dans une des salles construites contre la courtine Sud.
La Tour Régine
Composée d'une tour circulaire couverte par une superbe coupole en colimaçon, la Tour Régine est identique à celle du château de Quertinheux. Dans sa partie supérieure, une double rangée de trous de boulin servait à recevoir des hourds. Des latrines ainsi qu'une citerne complètent cet ensemble.
Le château est composé d'une tour ceinturé par une courtine. La tour circulaire est comparable à celle de Quertinheux. La courtine polygonale de superficie restreinte est essentiellement conservée au Sud. Le matériau employé est le même que celui du château de Cabaret, cependant l'appareillage plus homogène est disposé en assises régulières.
La Forteresse Royale
A partir de 1230-1240, elle aurait été édifiée grâce aux moyens matériels et financiers du Roi de France. Les dénominations de "Tour Neuve" au XIIème siècle puis "Tour Régine" confirment qu'il s'agit d'une construction effectuée par les ingénieurs royaux. Par ailleurs, elle est la réplique de certaines tours de l'enceinte du château Comtal de la Cité de Carcassonne.
Les Archères
Les archères "à étrier" sont parmi les éléments défensifs les plus remarquables de la tour. Ces ouvertures comportent une fente à base triangulaire datée du milieu du XIIème siècle. Réalisées en calcaire blanc, elles présentent un entourage particulièrement soigné. Les archères de la courtine, plus tardives, sont réalisées en grès.
La Tour
Dans sa partie supérieure, une double rangée de trous de boulin servait à recevoir des hourds. On y accédait par des baies rectangulaires aujourd'hui à l'état de vestiges. a l'Ouest, la tour est percée d'une porte située à l'étage, desservie par un escalier en bois, hors oeuvre. Le premier étage a vu l'aménagement d'un demi-plancher en bois qui permet, à l'aide d'un escalier neuf, d'accéder au rez-de-chaussée. Celui-ci abrite essentiellement une citerne. Le deuxième étage est desservi par un escalier en bois hélicoïdal aménagé à l'Est et éclairé par des meurtrières. Ce second niveau largement ajouré, est intéressant pour sa coupole circulaire surbaissée appareillée en limaçon.
Le château de Surdespine ou Fleur d'Espine
D'allure compacte, le monument est dominé par une tour carrée séparée d'un logis quadrangulaire et accolé à une citerne. Une courtine trapézoïdale protège l'ensemble. Excessivement ruinées, les parties manquantes de cette courtine ont été rehaussées lors de la dernière campagne de restauration.
L'angle Nord-Ouest de l'enceinte abritait probablement l'entrée du château, aujourd'hui remplacée par une brèche. Un second accès était aménagé au Sud-Ouest. La tour de Surdespine devait faire office de donjon, et le logis constituait probablement une pièce d'habitation de faible superficie.
Le château, qui se singularise par la rareté de ses meurtrières, est percé de quatre fenêtres en plein cintre. Celles-ci présentent des voussoirs en pierres de taille blanches de Lassac.
La Datation
Au milieu du XIIème siècle, l'administration royale aurait commencé l'édification de la tour et du logis de Surdespine. A cette époque, il était le plus grand des quatre châteaux. Aux début du XVIIème siècle, la construction de la courtine et des différents aménagements qu'elle contenait transforme le château en "fort".
Le château de Quertinheux
De structure complexe, le château actuel évoque une synthèse de Cabaret et de Tour Régine. Il comporte une tour circulaire cernée d'une vaste courtine polygonale contenant, comme au château de Cabaret, des réduits adossés en appentis. Une avancée en chicane défend l'accès principal.
Dressé sur un piton au Sud-Ouest des châteaux, un édifice primitif appelé Quertinheux fait son apparition dans les textes peu après 1100. Il était probablement situé plus bas, en connexion avec le "Trou de la Cité". Véritable poste avancé, la vue dégagée embrasse, au Nord les trois autres châteaux, et au Sud, le village.
L'Enceinte
Comme au château de Cabaret, les chemins de ronde dans la partie supérieure des courtines, sont bâtis sur des arcs de décharge brisés. Quelques canonnières du même type y sont encore conservées à l'Est. A l'instar des trois autres châteaux, Quertinheux a été adapté après 1500 au progrès de l'artillerie.
La Tour
La tour a été élevée au milieu du XIIème siècle par le pouvoir royal. Elle s'inspire de Tour-Régine pour son plan, ses dimensions, son système d'archères, son escalier à vis -en ruines-, sa porte d'entrée située au dessus du niveau du sol et surmontée d'une fenêtre rectangulaire. Du donjon de Cabaret, elle a emprunté la voûte gothique sur croisée d'ogives. Aujourd'hui en ruines, on l'aperçoit au travers d'une ouverture ménagée dans la dalle en béton armé qui eu pour but d'assurer la stabilité générale de la tour en 1966.
Les Citernes
Quertinheux est doté de deux citernes selon le même schéma d'organisation que Cabaret. A l'Est, un premier ouvrage attenant à la tour recueillant sans doute l'eau des toitures grâce à un conduit en tuiles. Une seconde citerne, destinée à recevoir l'eau du chemin de ronde, a été construite en bordure de la courtine orientale, probablement au XVIème siècle.
Le Castrum de Cabaret
Occupant en amphithéâtre le flanc Nord-Ouest de la colline des châteaux, le site déserté de Cabaret fait l'objet de fouilles archéologiques programmées, sous la direction de Marie-Elise Gardel, depuis 1987. Le "cinquième" château : probablement entre le milieu du XIème et la première moitié du XIIème siècle, un village s'est développé autour du château primitif de Cabaret.
En 1063, il n'était pas situé à l'emplacement de l'édifice qui porte aujourd'hui ce nom. Au centre du village castral, les fouilles ont révélé un ensemble bâti assimilable au premier château : sur plus de 500m2, il s'articulait autour d'un rocher qui devait recevoir un donjon attenant à un petit bâtiment perpendiculaire, ouvert sur une cour pavée. L'ensemble était entouré d'une rue et d'une première rangée de bâtiments.
Le Village Castral
Outre ce noyau castral, le site présentait un faubourg étiré sur le versant Ouest, comprenant huit à neuf terrasses, étagées jusqu'au lit du Grésilhou. Un second faubourg installé sur le versant Nord se développait jusqu'à la rivière Orbiel. Enfin, une probable extension de l'habitat s'organisait le long de l'ancien chemin de Carcassonne, sur la rive droite du Grésilhou, traversé par un pont.
Ces lieux ont été abandonnés brutalement sans que les habitants aient pu emporter leurs objets domestiques : on retrouve le bois consumé dans le foyer, les restes du dernier repas, les poteries culinaires encore en place, etc. Ce mobilier très diversifié est antérieur au milieu du XIIème siècle et coïncide avec la reddition de la forteresse en 1229. La destruction volontaire du castrum par l'administration royale doit se situer vers 1240.
La Vieille Eglise
En 1269, date à laquelle le village castral doit déjà être déserté, une église connue sous le vocable Saint-Pierre et Saint-Paul est mentionnée en contrebas du château de Quertinheux. Est-ce l'église du castrum de Cabaret ? Est-ce celle d'un autre noyau d'habitat installé sur le versant sud, conséquence d'un déplacement de population suite à l'abandon du village castral ? On présume qu'elle a pu d'abord constituer une chapelle castrale avant d'être érigée en paroisse distincte.
Cette "vieille église" ("Vielha Gleisa") attribuée par son style à la fin du XIème siècle, a subi d'importants remaniements au XIIème siècle. De 15 m de long et 11 m de large, l'édifice comportait une nef unique dotée d'un chevet polygonal à cinq pans doublés à l'intérieur par une série de niches semi-circulaires. Son entrée aujourd'hui disparue était ménagée à l'angle Nord-Ouest. L'ensemble est bâti en pierres calcaires régulièrement assisées.
Le long du chemin était installé un cimetière limité par un enclos, aujourd'hui confondu dans les murs des terrasses. Des campagnes de fouilles menées depuis quelques années sur le site du cimetière ont permis de mettre au jour un grand nombre d'ossements humains (en cours d'étude).
Le trou de la Cité
Il s'agit de la plus grande grotte de Lastours qui en dénombre une quarantaine. Ce tunnel souterrain, de nombreuses fois remanié, a dû être utilisé à maintes reprises comme réserve, refuge ou bergerie.
Au moyen âge, associé à un ensemble de plates-formes, il aurait pu correspondre à un aménagement fortifié. En 1994 a été observée une construction médiévale composé d'un mur, d'un pavement et d'une série de cinq marches. Ce dispositif rustique permettait notamment d'atteindre une baie offrant une excellente vue sur l'extérieur.
On peut donc supposer que le château de Quertinheux mentionné en 1129 était une fortification avancée, destinée à surveiller le col qu'empruntait la principale voie de communication d'alors, le chemin de Carcassonne. L'intégration de la cavité du "trou de la cité" comme salle-basse de ce château, cave ou magasin, semble fort probable.
La Princesse de Lastours
La fonction sépulcrale du site de Lastours est la première connue. La sépulture d'une fillette dite "Princesse de Lastours" découverte en 1961, en est chronologiquement le premier témoin. Attribuée à l'Age de Bronze, elle reposait dans "l'abri du collier", cavité annexe du "trou de la cité". Son corps était recouvert d'objets parmi lesquels se trouvaient des perles d'ambre et des bijoux évoquant l'art mycénien ou égyptien. Ces parures attestent les échanges effectués par les peuples du Cabardès avec le monde méditerranéen.
La visite des quatre châteaux de Lastours
L'accès aux quatre châteaux de Lastours s'effectue à partir de l'ancienne usine textile réhabilitée et transformée en lieu d'accueil du site. Une boutique culturelle et un restaurant gastronomique complètent l'ensemble.
Le parcours est aménagé sur la première partie avec des passages plats alternés avec des escaliers. Ensuite, des chemins de terre un peu caillouteux permettent d'accéder à chaque château. Pensez à vous munir de bonnes chaussures, une petite bouteille d'eau également en cas de forte chaleur. La randonnée dure 2h à 2h30 environ.
Pensez à vous munir de bonnes chaussures … la randonnée dure 2h à 2h30 environ !
Consignes de sécurité
- Inaccessible en poussette,
- Bonnes chaussures et bouteille d'eau conseillées,
- Surveillez vos enfants pendant la visite,
- Les chiens doivent être tenus en laisse,
- Respectez la faune et la flore.
Depuis le Belvédère
Depuis l'accueil/billetterie, le Belvédère se situe à 200m environ par un sentier accessible à tout public. Une aire de pique-nique et un parking gratuit sont à votre disposition devant le point d'accueil. Une boutique culturelle complète l'ensemble ainsi qu'une exposition sur l'ensemble du site.
Facile d'accès, le Belvédère permet une “visite à distance” pour les personnes qui ne peuvent s'offrir la visite. Les enfants doivent être surveillés. L'accès au point de vue est accessible en poussette. Les chiens doivent être tenus en laisse. Respecter la faune et la flore.
Tarifs de la visite
âge | tarif en 2024 |
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0 à 6 ans | visite gratuite |
7 à 15 ans | 3,50 € |
16 à 25 ans | 5,00 € |
+25 ans | 8,00 € |
Ouverture Du lundi au dimanche de 9h à 20h
Les horaires sont succeptibles de changer en dehors de la période estivale. Prennez soin de vous renseigner avant votre visite.
Photos sous licence CC-by-sa, 2011-12-07 Castillos Cátaros II by Luiyo